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Gouvernement de transition : L’Ambassadeur Olivia ROUAMBA et le ministre délégué, Karamoko Jean Marie TRAORE installés


actualité

L’Ambassadeure Ragnaghnèwendé Olivia Rouamba, nommée à la tête de la diplomatie burkinabè le 5 mars 2022, a été installée le vendredi 11 mars dernier dans ses fonctions de ministre des Affaires étrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’Extérieur. C’était à l’occasion d’une cérémonie au cours de laquelle elle a également procédé à l’installation du ministre délégué chargé de la Coopération régionale, Monsieur Karamoko Jean Marie TRAORE.



Le Secrétaire général du Gouvernement et du Conseil des ministres, Monsieur Jacques Sosthène DINGARA, qui a présidé la cérémonie, a rappelé les critères qui ont présidé au choix de la nouvelle ministre et lui a souhaité une bonne mission, avant de la déclarer installée dans ses nouvelles fonctions. Installation à l’issue de laquelle la ministre Olivia ROUAMBA, dans son premier discours en tant que ministre, a exprimé son ferme engagement, avec le ministre délégué et l’ensemble de ses collaborateurs, à travailler pour relever les majeurs défis du moment, à travers  une diplomatie active et dynamique, axée sur les résultats.

Elle dit prendre la pleine mesure de l’importance et de la noblesse des tâches et missions qui lui sont confiées, ainsi que celle de l’environnement dans lequel elles doivent être assurées et assumées. C’est pourquoi elle inscrit au centre de sa démarche et de sa stratégie, le concept de                 « Diplomatie de sécurité », afin de l’adapter aux nécessités du moment.

Pour elle, il s’agit dans l’urgence, « de travailler au renforcement des relations avec les partenaires techniques et financiers du Burkina Faso ; d’œuvrer à la réhabilitation de notre pays au sein des familles institutionnelles de la CEDEAO, de l’Union africaine, de la Francophonie, et de rassurer nos différents partenaires que le Burkina Faso est digne de confiance et mérite toute la place qui lui revient dans le concert des nations ».

A l’interne, l’on retient la poursuite de l’organisation des Etats généraux de la diplomatie, qui devrait permettre « d’engager des réformes fortes tant au niveau institutionnel qu’en ce qui concerne les outils et approches»


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