Aller au contenu principal
  • Burkina Faso / Unite - Progres - Justice

Intégration: le ministre délégué, Maxime Koné à l'écoute des communautés vivant dans les Hauts-Bassins.


actualité


Après Ouagadougou le 10 juin dernier, où il a échangé avec les représentants des communautés qui y vivent, le ministre délégué chargé de l'intégration africaine et des Burkinabè de l’extérieur, M. Maxime Koné, était ce samedi 12 juin à Bobo-Dioulasso où il a rencontré celles vivant dans la région des Hauts -Bassins. Objectif, échanger à bâton rompu avec elles sur leurs préoccupations en vue d'y trouver des réponses, afin de renforcer les relations entre le ministère et les communautés vivant au Burkina Faso.

Quatorze communautés étaient représentées à la rencontre et tout comme il l'avait fait à Ouagadougou, le ministre Koné les a félicitées pour leur participation active aux activités organisées par le Ministère des affaires étrangères, de la coopération, de l'intégration africaine et des Burkinabè de l'extérieur et les a invitées à s'impliquer davantage dans les organisations futures telles que la caravane de l'intégration, les ateliers de formation. En ce qui concerne les échanges, à Bobo, l'on a enregistré les mêmes préoccupations qu'à Ouaga mais également d'autres qui tournent autour de la méconnaissance des procédures de naturalisation, le manque de moyens financiers pour les soutenir et l'obtention d'un siège au profit de la coordination, entre autres.

En guise de réponse après leurs avoir donné des éclaircissements sur les ouvertures de consulats et d'ambassades, et les conditions d'obtention de visas , le ministre Koné leur a conseillé de rester en contact avec les autorités de leurs pays d'origine. Pour certaines résolutions un atelier de formation est prévu à cet effet afin que les communautés soient outillées. Il a dit prendre bonne note pour la construction du siège de la coordination et promet que la faisabilité sera discutée au sein du gouvernement. Du reste, il s'est dit ouvert et prêt à accompagner toute action entrant dans le cadre du vivre ensemble entre les Burkinabè et les communautés, non sans les exhorter au respect des règles et les lois du Burkina Faso.


Partager sur :